(10,00 euros pour le livre) + 4,30 en envoi lettre.
212 pages, format poche.
J’ai choisi à dessein d’utiliser le mot “pédérastisque” dans le titre pour replacer ces contes dans leur contexte historique d’écriture du XVIIe siècle. En effet, le mot “homosexuel” apparaît en 1868, alors que le mot “pédéraste” existe, lui, depuis le XVIe siècle. Avant, pour désigner les amours masculines, on employait les mots “sodomites” ou “bougres”. Quant au terme moderne, “gay”, s’il désignait d’abord des plaisirs immoraux à partir du XVIIe siècle, c’est véritablement en 1947 qu’il commence à désigner les homosexuels et qu’il devient un terme politique que ces derniers s’approprient pour devenir une revendication identitaire lors de la première Gay pride à New York en 1970.
Treize contes sur l’amour entre hommes, de cet amour éternel et inaltérable aussi doux que la plume d’un oiseau et aussi fort que le plus dur des granits.